2006/06/10



À notre retour d'Argentine c'est la vue qui s'offrait à nous. C'était tout un contraste. On revenait de trois semaines à respirer des odeurs d'eucalyptus et à se remplir de l'immensité de la pampa.
Gaïa, appuyée au bord de la fenêtre, nous attendait, impassible, dans son décor blanc et doux de ouate molle.

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